Une merveilleuse rencontre. [Tsukuné / Yukimura]

Simple Etudiant Messages : 16 Date d'inscription : 07/04/2011

Tsukuné avait fini tard pour cause qu'il dut s'occuper du ménage de la classe. Il le fit et se rendit en ville car il avait des choses à faire. Mais, vu l'heure où il avait fini, il ne pourrait pas faire grand chose. Mais il décida d'y allait quand même, ce serait déjà mieux que de rester enfermer dans sa chambre à rien faire. Il sortit donc péniblement du lycée pour prendre la route qui le menait aux arrêts de bus. Il s'y dirigea doucement en ne faisant pas trop attention aux choses. Il avança doucement et soudain il eut un petit coup de vent. Tsukuné se tint les cheveux et vit alors des pétales de cerisier défiler devant lui. Il admira cette pur merveille, en pleine journée, c'était déjà très beau, alors imaginez vous en pleine nuit. Il avança donc pour se dirigea aux arrêts de bus, mais exténuer comme il l'était il mit très longtemps à s'y rendre. Environ un quart d'heure après, il arriva enfin aux arrêts de bus. Ayant croisée bon nombre d'étudiant rentrant chez eux il en avait complétement rien à faire. Il se posa dans un arrêt de bus pour se rendre en ville et attendit donc celui ci. Il admira alors en l'attendant les cerisier en fleur avec un petit sourire aux lèvres. Qui ne sourirait pas après avoir vu une tel merveille de la nature ? La saison des cerisier en fleur, c'était et de loin la meilleurs des saisons ... Si il le pouvait, il aurai fait de cette instant un instant inoubliable, mais ce fut impossible. Il regarda le sol péniblement et exténuer de sa dur journée, puis se perdit peux à peux dans ses pensées. Il pensait aux filles, Non, pas perversement, Plutôt ... Comment diras-je ... Plus une pensée qu'il ne croyait pas ... En faite, ce fut dur à expliquer, Il pensait à une fille, qu'il rencontrerai, et qu'il fonderait peux à peux des lien avec. Quel lien me diriez vous ? Bien, pour commencer, un lien d'amitié, mais, le petit "plus si affinité" arrive toujours à un moment dans toute relation amical. Et c'est à ce petit "Plus si affinité" qu'il était en train de penser. Oui, Tsukuné n'avait jamais vraiment eut de relation amoureuse. Et pour tout vous dire, il était en grand manque d'amour pur et propre, son plus grand rêve était de rencontrer la femme de ses rêve. Un peux comme tout le monde me direz vous ... Mais, Tsukuné était loin de s'imaginer ce qui allait suivre. Sans même s'en rendre compte, Tsukuné se mit à pleurer, toujours en observant péniblement le sol. Un sol qui se fait tout le temps piétiner, mais qui ne dit rien, qui reste de marbre, ou plutôt, de béton. Tsukuné versa alors, ses larmes de tristesse et de solitude sur ce sol bétoneux qui ne disait jamais rien. Le seul bruit qui se fit entendre n'était que les fleurs de cerisier chantait et le vent qui les accompagner. Tsukuné admirai vraiment ses amie ou même sa famille, mais des fois, il se demander si il trouverait réellement un jour l'âme sœur tel que les autres le font. Tsukuné revint à lui et aperçut enfin ses larmes qu'il essuya aussi tôt. Il se frotta les yeux, et releva la tête. Mais il était toujours prit de cette tristesse, que nous pourrions qualifié de "déprime". Oui, ça arrive à tout le monde de déprimer ... Aller t-il bientôt sortir de sa déprime ? Ou allait-il tout simplement y rester ? Moi même ne le sais pas. Et lui même non plus. Il se contenta juste d'avancer. en pleure ou en rire, il avança et avancerait toujours. seul ou à plusieurs, il avancerait toujours. Triste ou heureux ... Il rêvera toujours ...

Simple Etudiante Messages : 10 Date d'inscription : 10/04/2011

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Et voilà une journée de plus.
J'avais fini extrêmement tard se jour là, en effet il devait être sur les coup de 22h lorsque je venais simplement de terminé ma corvée donner par un de mes supérieur, qui était de ciré tous les rangers présent dans lycée, simplement à cause d'un temps « minable » selon lui lors de notre entrainement dans la boue. Il y avait un nombre tellement incalculable de rangers que cela m'avais pris un temps fou surtout avec cette entrainement dans la boue qui les avaient rendu complètement dégoutant et donc par la même occasion deux fois plus dur à nettoyer et faire briller.

Après cette longue et harassante corvée j'allais enfin dans les vestiaire pour me lavé mais aussi me changer. Après 10 minutes sous l'eau, je sortis, m'essuyais puis enfilais alors une petite robe violette pale, sans bretelles, des chaussure a talon noir et tous mes bracelet noir en perle et en métal. Je me maquillais ensuite très légèrement pour que l'on ne vois plus que j'avais pleuré quelque heure avant.

Je rangeais ensuite mes affaires sales et partis en prenant mon sac d'entrainement et mon sac de cours. Je sortis ensuite de l'enceinte du lycée et me dirigeais vers l'arrêt de bus. Je n'avais plus aucune force et marchais à une allure digne d'un escargot si bien que c'est seulement après près de 45 minutes au lieux de 15 minute en temps normal que j'arrivais à l'arrêt.

Je vacillais alors en arrivant près du banc et m'y laissais tomber et poussais un long soupir d'épuisement. Les pétales de fleurs de cerisiers virevoltais dans le ciel ce qui donnais une atmosphère magique grâce à la combinaison du ciel étoilé et moi tous se que j'arrivais à faire c'est tombé comme une larve sur un banc très joyeux somme toute.

Mais j'étais si exténué que cela m'importait peu et je remarquais que je n'étais vraiment pas très en phase avec la réalité lorsque je remarquais un jeune homme près de moi, qui n'avais pas l'air d'avoir bougé depuis longtemps et qui était donc sans doute là depuis le début, seulement ou je lui frôlais la main sans le vouloir en laissant tombé mes bras dans le vide.

« Oh, pardon! », m'excusais-je alors d'une voix épuisé et faiblarde.

Je me tus ensuite et fixais le jeune homme à ma gauche et vis qu'il ne faisait pas partis de mon lycée mais de celui des « pauvres » comme tous le monde l'appelais et qui n'était autre que le lycée Kosen. Cela se reconnaissait tous simplement a son uniforme qui était composé d'une veste bleu, d'une sorte de gilet orange d'une chemise blanche d'une cravate rouge et d'un pantalon gris ce qui était très différent de ceux des autres lycée et donc très repérable. J'aurai alors du me battre avec lui ou je ne sais quel truc bizarre pour prouvé la supériorité de mon lycée par rapport au sien mais j'en avais plus que rien a faire pour dire vrai, et même si lorsqu'il y avait du monde de Momiji dans les alentour j'étais forcé de faire semblant de pensé comme la plus part d'entre eux et de me battre à cette heure tardive il n'y avait personne et je décidais simplement de ne rien lui dire et de resté muette, en jetant tout de même parfois quelque coup d'œil a se jeune brun près de moi.

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Simple Etudiant Messages : 16 Date d'inscription : 07/04/2011

Tsukuné qui avait eut une très dur journée s'était assit sur le banc de l'arrêt de bus comme un mort. Il avait Plein de cernes sur le visage et sous les yeux et surtout il était un peux pâle. Il était aussi perdu dans ses pensées. Il était toujours en train de pensée à cette fille imaginaire qui pourrait un jours devenir sa bien aimer, celle don il ne connaissait pas encore le nom, dont il n'avait pas vu le visage, celle dont il espéra rencontrer un jour.

Tsukuné ne remarqua même pas qu'une fille s'était assise à ses cotés, et encore moins que celle ci lui avait frôler la main sans le vouloir. Il sortit peu à peu de ses pensées quand il détourna alors doucement la tête vers celle ci. Il la regarda, et à avouer, il fit envoûter par sa beauté. Il la regarda et vit dans ses yeux une explosion. Et dans son cœur, une implosion. Il la regarda ne pouvant décrocher son regarde de celle ci, il n'y arriver pas, elle était si … belle … Mais que faire devant une tel beauté, devant un tel arts !! Tsukuné ne savait plus quoi faire alors il commença à rougir. Il réussi à sortir de son envoûtement et baissa la tête tout rouge.

Tsukuné tenta de penser à autre chose mais en vint. Il n'arriver pas à oublier un si beau visage, une pur merveille … Il regarda le sol et se tourna les pouces de trac et de stress. Il regarda alors les pieds de la jeune demoiselle. Mais il monta peu à peu pour revenir à son visage. Tsukuné avait trouver sa nouvelle Drogue … Il ne pouvait laisser passer une si belle occasion. Il la regarda de plus en plus rouge et essaya de décrocher quelque mots. Ce fût dur mais, il y arriva très Difficilement.

Euh .. Humm .. Bonjour mademoiselle .. Vous allez pas l'air très .. Bien. Vous Faite quoi .. Ici ?

Tsukuné baissa la tête doucement. Il se croyait imbécile de pouvoir avoir une relation avec une pur merveille. Qu'elle soit Amical ou autre. Il la regarda doucement avec un petit sourire. De peur ? De Honte ? Ou de trac ? Il se remit alors à jouer avec ses doigts.

Les pétales continuer de tombée comme de la pluie et le vent continuer lui de souffler tel un mariage des deux événement naturel, Mais, ce « Vent » fit dirigeait cette bonne Odeur. Cette Bonne odeur, d'où venait-elle ? Ne me dite pas qu'elle venait de cette pur merveille ? Tsukuné fermât les yeux rien que de sentir cette pur Odeur marié à celle des pétales de cerisiers. Quel pur odeur. Il ne put s'empêcher de bercer par cette pur Odeur.

Tsukuné se remit alors à regarder la jeune demoiselle avec un beau sourire. Il se calma peu à peu et réussi à se reprendre doucement. Il la regarda avec un beau sourire et admira alors sa pur beauté.

*Qu'elle est magnifique ...*

Simple Etudiante Messages : 10 Date d'inscription : 10/04/2011

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Je le regardais toujours du coin de l'œil ne sachant que faire, ni que dire. Soudain après quelques minute il eu l'air de me remarqué pour la première fois et après un long moment il bredouilla ces quelques mots:

« Euh .. Humm .. Bonjour mademoiselle .. Vous allez pas l'air très .. Bien. Vous Faite quoi .. Ici ? »

Mais la fatigue aillant quelque peut brouiller mon cerveau et mon temps de réactions, je mis un certain moment a comprendre que le jeune homme s'adressait à moi. Je réfléchis ensuite a la réponse qu'il faudrait formuler puisque j'étais une militaire et que j'avais un rang à tenir, mais je laissais bien vite tombé et entrepris de répondre simplement comme je le sentais et c'est alors ce que je fis.

« Bonjour. Ne vous inquiétez pas pour moi je suis très souvent ainsi, et vous vous ne m'avez pas l'air mieux que moi, je me trompe? Et je suis ici certainement comme vous pour prendre le bus puisque je rentre à peine de mon lycée ou j'avais des taches a terminé »

Je me remis ensuite a regardé le ciel étoilé en lui jetant parfois de petit coup d'œil et je remarquais alors qu'il me souriait. Machinalement sans vraiment m'en rendre compte je lui souriais, mais ce sourire était très fatigué et pale qui devais surement refléter mon état de santé plus que laborieux.

En effet je n'avais pas manger depuis trois jours de vrai repas, et je n'avais du grignoter qu'une moitié de pomme dans laps de temps donc je le rayonnais surement pas de vie mais bon qu'est ce que j'en avais a faire au juste que mon sourire lui plaise ou non je me le demandais bien.

Après quelques temps je me dit qu'il faudrait tout de même me présenter ce qui serai la moindre des politesse, surtout que personne de mon lycée ne se promènerais dans le coin à cette heure donc mon père n'en serai pas informé.

« Au faite je m'appelle Yukimura Fujihara, et vous? » Demandais-je faiblement a cause d'une pointe de timidité car je n'avais jamais fait ça au paravent de demandé le nom de quelqu'un puisque je n'avais jamais rencontré personne hors de mon lycée.

Je me retournais encore une fois la tête vers le ciel et me tortillais les doigt a cause d u stresse quand d'un seul coup le mal de tête qui persistait dans ma tête depuis un moment s'amplifia et la tête me tournais. Ma vision se troublais ensuite pour finir par me retrouver dans le noir en me sentant tombé vers l'avant sans pouvoir me rattrapé.

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Simple Etudiant Messages : 16 Date d'inscription : 07/04/2011

Tsukuné qui était encore nouveau venait de faire une rencontre. Il souriait souvent à la jeune demoiselle qui attendais à cotés de lui. Elle lui répondit alors que Tsukuné qui était de nature inquiet pour les autre et serviable qu'elle allait bien. Elle était souvent comme ça alors ... Faible et pâle ... Tsukuné la regarda et après un moment de silence, elle lui dit alors qu'elle se nomma Yukimura Fujihara. Tsukuné sourit et dit alors ...

Enchanté Mademoiselle Fujihara. Moi je me nomme Tsukuné Aono.

Tsukuné eut peine de finir que la demoiselle tomba d'épuisement de fatigue et de faiblesse. Tsukuné se précipita pour tenter de la rattraper et tomba dans une situation quelque peux embarrassante ... Il la rattrapa bien et se glissa sous elle. Ce qui fait qu'elle était sur lui. Tsukuné soupira et se releva avec elle. Il la porta et l'allongea sur le banc. Mais, qu'allait-il faire ? Il n'allait pas la laisser ainsi ? Que pouvait-il bien faire ? Il ne trouva que quelque chose à faire. Lui mettre sa veste pour qu'elle n'ai pas froid, puis conserver son sandwish qu'il n'avais pas eu le temps de manger. Il resta là à attendre son réveille.

*Je suis encore dans de beau drap moi ...*

» Tsukuné Aono.
» Link's Yukimura, The little Soldier